François Hollande et Julie Gayet : sexe et pouvoir au sommet de l’Etat
Hollande est finalement un sacré tombeur. On le croyait enfermé dans le jeu des rivalités entre Ségolène Royal et Valérie Trierweiler, et le voilà qui élargit son horizon avec Julie Gayet, stupéfiant tous les médias internationaux.
Certains semblent surpris. Mais soyons honnêtes : qui va nier que les milieux du pouvoir sont aussi ceux du sexe? Les individus dominants, exerçant un fort pouvoir aussi bien dans l’entreprise qu’en politique, ont souvent une activité sexuelle débordante, et ce pour plusieurs raisons.
D’abord, parce que le pouvoir fournit des opportunités de rencontre et des facilités de séduction. Ensuite, parce qu’il confère confiance et assurance à celui qui le détient, habitué d’être obéi en tout par ceux qu’il côtoie, et de réussir dans ses entreprises. Et enfin, parce que le pouvoir modifie la composition chimique du cerveau dans un sens qui pourrait favoriser l’activité sexuelle.
Hollande, un cerveau bourré de dopamine ?
Des études récentes ont montré qu’à mesure que la dominance sociale d’un individu augmente, son cerveau se renforce en un certain type de molécules que l’on nommé récepteurs de la dopamine.

Le récepteur D2 de la dopamine est une molécule présente dans les neurones du cerveau, qui semble intervenir à la fois dans le pouvoir et l'appétence pour les drogues et le sexe.
Ces molécules sont la cible des drogues ou du sexe dans le cerveau. Par exemple, l’âge du premier rapport sexuel chez les jeunes hommes (un indice de l’activité sexuelle générale au cours de la vie) a été corrélé à la présence d’un gène particulier codant ce récepteur D2 dans le cerveau. Il serait donc tout à fait possible que l’exercice du pouvoir, en augmentant les taux de ces récepteurs dans le cerveau, favorise l’activité sexuelle.
Droit de cuissage à l’Elysée ?
Ces observations biologiques intéressent les spécialistes de l’évolution des primates. Ceux-ci ont constaté que, chez de nombreuses espèces de singes, l’accès des mâles aux femelles est déterminé par le rang social : le mâle « alpha » (rang suprême) a un droit de cuissage sur les femelles du groupe. Il serait bien fou de s’enfermer dans la monogamie.

Chez les gorilles, le mâle dominant règne sur un groupe de femelles qu'il protège et auxquelles il a accès.
Mais malheureusement, tout n'est pas rose au pays des Hollandes dominants. Car le mâle alpha subit précisément un stress aigu lié à sa position de dominance : il lui faut défendre ses prérogatives contre d’éventuels challengers et se battre pour les femelles. Comment faire diminuer ce stress ?
L'hypothèse d'un Hollande amoureux
C’est là que l’hypothèse d’un Hollande amoureux est intéressante. Des recherches scientifiques menées par les neuroscientifiques Andreas Bartels et Semir Zeki à l’Université de Londres en 2000 montrent que la passion amoureuse « éteint » les zones du stress dans le cerveau. L’amant est détendu, heureux, souriant. Plus : il est optimiste et croit en l’avenir.

Ce cliché d'un cerveau amoureux montre en bas au milieu la désactivation d'une zone du stress et de la peur, l'amygdale. L'amoureux est détendu et optimiste.
Avec 24 pour cent d’opinions favorables et un pays en grande difficulté, voyons cela comme une chance. Au moins, le Président est optimiste. Ce qui serait embêtant, c'est qu'il soit sur un petit nuage...
WAW! Ben pour un blog qui se veut scientifique, quelle belle démonstration de "scientifisation" de théories freudiennes (sexe, pouvoir, argent, enfin bref le centre de toutes nos vies c'est le phallus sans aucun doute. Non c'est mieux de ne pas remettre en question tout cela LOL). Moi mâle, moi vouloir femelles! Femelles obéir Moi! J'adore aussi les théories sur les femmes qui, quand elles ne répondent pas aux besoins de leur Utérus, choisissent un homme seulement par obéissance aux "besoins naturels prétendument primaires" de l'homme (les femmes ne pensent pas, les hommes ne pensent pas, c'est beau tout ça). Heureusement que la dernière partie parle d'amour parce que pendant un moment je me suis demandé si on avait encore un cortex préfrontal chez les homosapiens.Très déçu je suis.